Sur chacune des mairies d'arrondissement de Paris, on peut lire : "une année qui commence bien, est une année qui commence à Paname".
Cette année comme toutes les autres, j'ai donc passé le réveillon à Paris. A Paris, pas exactement, puisque, cette année, j'ai été invité à passer le réveillon dans la ville qui repose sur les ruines du Lutèce historique. Exactement ! Nanterre ! Quoi de mieux pour un Desperados que de débuter l'année par un tel pèlerinage, accompagné par ses compères du Carré d'Ass ?
Comme à leur habitude, les Gayno nous ont reçu de façon royale : Champagne, petits fours, repas 3*, et tenue de bal. Seule ombre au tableau, mon état de fatigue avancé, du à une semaine de dur labeur, ne m'a pas permis de rester très longtemps après les 12 coups de minuit.
Le retour, par contre, a été beaucoup moins féerique, puisque le seul moyen de rallier la capitale à une heure aussi tardive, reste la marche à pied. Mon lot de consolation, c’est que mon bureau était sur le chemin, et je me suis souvenu qu’une bouteille de mousseux, gentiment offerte par un fournisseur, traînait dans mon tiroir.
Ni une, ni deux, j’ai décidé d’être le premier salarié à badger en 2011, et d’emporter ce petit mousseux pas frais, histoire de ne pas finir le chemin tout seul. Après une heure de marche, j’ai enfin retrouvé ma bonne vieille Chapelle, et j’ai fini la soirée, comme d’habitude par un kébab.
Ca, c’est la soirée que j’aurais pu vivre si j’avais passé mon réveillon en banlieue, avec une bande de gros cons que je vois toutes les semaines.
Le vrai déroulement de ma soirée, vous le connaissez déjà tous. Tout commence dans un appartement à Paris intra-muros au cours de laquelle je fais la connaissance d’une charmante canadienne (nous l’appellerons Vanessa). Vers 2h, fin du repas, on met le cap vers une soirée, recommandée par le texto de la copine d’un pote qui en a entendu parlé par sa sœur (un truc fiable, en tous cas). Enfin, vers 7h, la fatigue ayant pris le dessus, j’abandonne ma bûcheronne devant son hôtel, avant de regagner la Chapelle. Sur le chemin du retour, j’en profite pour écouter les messages que m’ont laissés 3 gros gays avinés.
Cette année encore, il ne sera pas facile de connaître l'actualité du Muet …
lol. j'aime.
RépondreSupprimerparlez moi du PSG, de sa deuxième place au classement et de son buteur! Je suis sûr que certains ont ressorti leur maillot rangé un mois de novembre il y a quelques année. Si! parlez moi du PSG.
Guy Roux, supporter en dérive
ahah, j'avais pas lu ce message mais il m'a fait bien rire!!
RépondreSupprimerLe Muet, t'es au top, change rien!!!
Le Grand